Imagerie Médicale

Scanner 160 Coupes Dernière Génération


QU’EST-CE QU’UN SCANNER ?

Le Scanner ou CT (Computed Tomography) est une technique d’imagerie médicale qui consiste à mesurer l’absorption des rayons X par les tissus puis, par traitement informatique, à numériser et enfin reconstruire des images 2D ou 3D des structures anatomiques.

L’émetteur de rayons X (tube à rayons X) effectue une rotation autour du patient en même temps que les récepteurs situés en face, et qui ont pour fonction de mesurer l’intensité des rayons après qu’ils ont été partiellement absorbés durant leur passage à travers le corps. Les données obtenues sont ensuite traitées par ordinateur, ce qui permet de recomposer des vues en coupes bidimensionnelles puis des vues en trois dimensions des organes. On peut faire ressortir le contraste de certains tissus, en particulier des vaisseaux sanguins, en injectant un produit dit « de contraste » (un complexe de l’iode) qui a la propriété de fortement absorber les rayons X et donc de rendre très visibles les tissus où ce produit est présent.

Les applications du scanner sont très vastes et sa performance la rend incontournable dans le diagnostic de très nombreuses pathologies. Les machines récentes comme celle dont nous sommes équipés (Canon 160 coupes), permettent une importante réduction de la dose de rayons X reçue par le patient, tout en conservant la qualité diagnostique des images. Ce type de machine réalise plusieurs phases après injection du produit de contraste permettant l’optimisation diagnostique grâce à une caractérisation précise des lésions. 

CE QU’IL FAUT SAVOIR ET FAIRE AVANT UN SCANNER

Lorsque vous prenez rendez-vous pour un scanner, munissez-vous de l’ordonnance du médecin. Cela vous permet de formuler le plus clairement possible votre demande d’examen.

Si vous êtes enceinte ou pensez l’être, ou si vous allaitez, signalez-le aussi à votre interlocuteur. En effet, le scanner n’est pas indiqué en cas de grossesse (sauf avis contraire de votre médecin).

L’injection d’un produit de contraste iodé est souvent utile lors de l’examen ; le produit est habituellement bien supporté. Cependant, des réactions allergiques sont possibles. Aussi, si vous souffrez d’allergies, en particulier à certains médicaments, d’urticaire, d’eczéma ou d’asthme, prévenez la personne qui vous donne votre rendez-vous. En effet, des mesures peuvent être prises pour le bon déroulement de l’examen, comme la prescription d’un traitement prévenant une éventuelle réaction allergique.

De même, indiquez si vous prenez des médicaments régulièrement, en particulier pour un diabète, ou si vous souffrez d’une maladie chronique. Selon le traitement utilisé, une interruption momentanée des prises est parfois nécessaire, ou un bilan biologique sanguin peut être utile notamment après 60 ans, HTA, diabète, insuffisance rénale.

LE JOUR DU SCANNER : BIEN VOUS PRÉPARER

Avant l’examen, respectez les consignes des professionnels de santé, selon le type de scanner effectué :

Dans certains cas précis, il vous faudra rester à jeun (sans manger, ni boire, ni fumer, durant les trois heures précédant l’examen) ;

Le plus souvent, vous pourrez manger, boire et prendre vos médicaments normalement. En particulier, si un produit de contraste est nécessaire, un repas léger évite les nausées lors de l’injection (mais fumer est déconseillé) ;

Avant de vous rendre sur le lieu du rendez-vous, pensez à emporter avec vous :

– Votre carte d’assurance CHIFA; le produit de contraste est gratuit en pharmacie

– L’ordonnance et/ou le courrier du médecin ayant prescrit le scanner ;

– Les ordonnances précisant vos traitements en cours ;

– Les résultats des examens précédents (prise de sang, radiographie, échographie, scanner, IRM, etc.) ;

– Le compte-rendu d’une éventuelle intervention chirurgicale.

À votre arrivée dans le Département de radiologie YASLANE Diagnostic :

Le manipulateur de radiologie ou le médecin radiologue vous interroge sur votre état de santé ;

Vous êtes conduit dans une cabine de préparation. Là, vous ôtez vos objets métalliques si vous en portez (bijoux, ceinture, etc.). Vous pouvez être amené à retirer aussi certains vêtements ;

Lorsqu’un produit de contraste est nécessaire, il vous est administré. Le plus souvent, on utilise la voie intraveineuse, en plaçant une perfusion dans une veine du bras pour injecter le produit.

LE DÉROULEMENT DU SCANNER

Pendant l’examen :

Vous êtes en contact permanent avec l’équipe médicale, installée derrière une vitre protectrice des rayons X. Le personnel de santé vous parle par l’intermédiaire d’un micro, et vous pouvez échanger avec lui à tout moment. Si nécessaire, l’équipe peut ainsi intervenir à tout instant ;

Vous devez rester immobile et bloquer votre respiration quelques secondes quand on vous le demande, afin d’obtenir des clichés de qualité.

L’examen lui-même dure 3 à 5 minutes. Il est réalisé par un manipulateur en radiologie, sous la responsabilité d’un médecin radiologue, et comprend plusieurs étapes :

– Vous vous allongez sur la table d’examen (ou « lit ») de l’appareil. Selon la zone étudiée, vous placez vos bras le long du corps ou derrière votre tête.

– Le lit se déplace. La partie du corps à examiner se retrouve alors à l’intérieur d’un large anneau, ouvert à ses deux extrémités. Celui-ci contient un émetteur-récepteur de rayons X.

Une fois l’examen terminé, on retire votre perfusion. Pour éviter la formation d’un hématome, vous comprimez votre veine là où l’aiguille a été introduite, pendant au moins trois minutes. Ensuite, vous pouvez vous rhabiller.

IRM 1.5 T Dernière Génération

Comment se déroule une IRM ?

L’imagerie par résonance magnétique (ou IRM) est un examen basé sur l’utilisation de champs électromagnétiques. Il donne des images du corps en deux ou trois dimensions. Pour bien vous y préparer et faciliter son déroulement, voici quelques conseils.

 

QU’EST-CE QU’UNE IRM ?

Une IRM (imagerie par résonance magnétique) est un examen de radiologie qui utilise un appareil émettant des ondes électromagnétiques, grâce à un gros aimant. Soumis à ces ondes, les atomes d’hydrogène composant les tissus de l’organisme se mettent à vibrer. Ils émettent alors des signaux, captés par une caméra spécifique et retranscrits en images sur un écran d’ordinateur.

L’IRM est un examen indolore, permettant d’obtenir des images de l’intérieur du corps humain, en 2 ou 3 dimensions. On le prescrit notamment pour visualiser les « tissus mous » (cerveau, moelle épinière, viscères, muscles, tendons, etc.)

Cette technologie, qui n’utilise pas les rayons X, est sans risque d’irradiation pour le patient.

 

IRM ET PRODUIT DE CONTRASTE : CE QU’IL FAUT SAVOIR

Dans certains cas, la réalisation d’une IRM nécessite l’injection d’un produit de contraste (à base de gadolinium, un métal faisant partie des terres rares). Cette substance opacifie des éléments du corps, pour les rendre visibles sur les images enregistrées pendant l’examen.

L’injection d’un produit au gadolinium est un acte fréquent, généralement bien supporté. Cependant, comme avec d’autres médicaments, des réactions imprévisibles restent possibles. Elles sont habituellement passagères et bénignes.

 

LES DÉMARCHES À ACCOMPLIR AVANT UNE IRM

Lorsque vous prenez rendez-vous pour une IRM, gardez à portée de main l’ordonnance du médecin. Cela va vous permettre de formuler le plus clairement possible votre demande d’examen.

Signalez lors de la prise de rendez-vous si vous êtes porteur d’un matériel métallique quel qu’il soit à l’intérieur de votre corps, (pacemaker, prothèses, patch transdermiques, etc.) Dans certains cas, l’examen peut être formellement contre-indiqué.

Si vous êtes susceptible de développer une allergie au produit de contraste, prévenez la personne qui vous donne votre rendez-vous. En effet, des mesures peuvent être prises pour le bon déroulement de l’examen. Par ailleurs, en cas de maladie rénale chronique sévère, l’emploi d’un produit de ce type est parfois interdit et doit être coordonné avec le néphrologue.

Si vous êtes enceinte ou pensez l’être (ou si vous allaitez), précisez-le aussi à votre interlocuteur. En effet, des modalités spécifiques sont prévues dans cette situation. Par précaution, on évite de pratiquer une IRM lors des 3 premiers mois de grossesse (en particulier si l’examen peut être réalisé après l’accouchement). Pour l’embryon, on limite ainsi les risques potentiels liés à la diffusion d’un champ magnétique.

D’autre part, indiquez si vous souffrez de claustrophobie (fait de ne pas supporter d’être enfermé dans un endroit exigu tel qu’un ascenseur). L’intérieur de l’appareil est bien éclairé et ventilé, mais des précautions particulières seront aussi programmées, pour éviter tout malaise.

 

Le port de dispositifs métalliques internes peut empêcher la réalisation d’une IRM

L’IRM est formellement contre-indiquée chez certains patients portant des matériels métalliques tels que :

  • Pacemakers (stimulateurs cardiaques) ;
  • Défibrillateurs cardiaques implantables (appareils délivrant un choc électrique en cas de troubles cardiaques) ;
  • Valves cardiaques ferromagnétique;
  • Implants ferromagnétique pour traiter une surdité;

BIEN VOUS PRÉPARER LE JOUR DE L’IRM

Le plus souvent, il n’est pas nécessaire d’être à jeun pour effectuer une IRM. Vous pouvez donc manger, boire de l’eau et prendre vos médicaments comme d’habitude.

Optez pour une tenue confortable, sans boutons pressions ni fermeture métallique. Venez sans pinces à cheveux métalliques ni bijoux, et proscrivez les pommades, déodorants ou fards sur la région examinée.

Avant de vous rendre sur le lieu de l’examen, pensez à emporter avec vous :

Votre carte d’assurance CHIFA; le produit de contraste est gratuit en pharmacie ;

L’ordonnance et/ou le courrier du médecin prescripteur de l’IRM ;

Les résultats de vos examens précédents (prise de sang, radiographie, échographie, scanner, IRM, etc.) ;

Le compte-rendu d’intervention chirurgicale ou d’hospitalisation, le cas échéant.

À votre arrivée :

  • Le manipulateur vous questionne sur votre état de santé (maladies et traitements en cours, port d’un dispositif métallique) ;
  • Vous êtes conduit dans une cabine de préparation. Pour garantir la bonne qualité desimages de l’IRM, vous y déposez vos éventuels vêtements ou objets contenant du métal (montre, ceinture, clés, porte-monnaie, cartes de crédit, téléphone portable, prothèses dentaires, appareils auditifs externes, etc.) ;
  • Lorsqu’un produit de contraste doit être utilisé, il vous est injecté par voie intraveineuse, à l’aide d’une perfusion posée dans le bras.

 

LE DÉROULEMENT DE L’IRM

L’IRM dure 15 à 30 minutes (ce qui peut vous sembler un peu long). L’examen est réalisé par un manipulateur en radiologie, sous la responsabilité d’un médecin radiologue (qui analyse les images).

Il comprend plusieurs étapes :

  1. Vous entrez dans la salle d’examen, qui reste fermée pendant toute la durée de l’IRM. Cette salle comporte un tunnel d’environ 2 mètres de long dans lequel l’appareil d’IRM est installé.
  2. Vous êtes allongé(e) sur la table de l’appareil.
  3. La partie du corps à examiner est positionnée au centre du cylindre.
  4. Puis l’appareil démarre. La table glisse dans le tunnel renfermant l’appareil d’IRM avec aimant de balayage. L’intérieur de l’appareil est bien éclairé et un ventilateur donne de l’air frais. La surface du cylindre peut être très proche de vous. Une caméra vous visualise tout le long de la procédure.

Sachez aussi que :

  • Afin d’obtenir des images de qualité, l’immobilité est requise durant l’examen. En particulier, il faut retenir sa respiration à certains moments ;
  • Le personnel de santé se tient en dehors de la salle d’examen et communique avec vous par l’intermédiaire d’un micro, d’un interphone ou d’une sonnette. Ainsi, l’équipe médicale reste à votre écoute à tout instant et peut intervenir à tout moment ;
  • La machine employée est bruyante. Elle émet un bruit irrégulier et répétitif, similaire à celui d’un marteau-piqueur. Des protections auditives peuvent vous être fournies.

Doppler

L’échographie Doppler est un examen médical échographique en deux dimensions non invasif qui permet d’explorer les flux sanguins intracardiaques et intravasculaires. Elle est basée sur un phénomène physique des ultrasons : l’effet Doppler. Elle est souvent surnommée écho Doppler.

Echographie

Comment se déroule une échographie abdomino-pelvienne ?

L’échographie abdomino-pelvienne est une technique d’imagerie médicale qui utilise les ultrasons. Elle permet de visualiser les organes de l’abdomen et du pelvis. Cet examen est réalisé au travers de la paroi abdominale ou par voie endocavitaire. Voici les clés pour mieux comprendre ces techniques.

 

QU’EST-CE QU’UNE ÉCHOGRAPHIE ABDOMINO-PELVIENNE ?

L’échographie est une technique d’imagerie médicale qui utilise les propriétés des ultrasons émis par la sonde de l’échographe. Ceux-ci se réfléchissent sur les parois des organes et produisent un écho, dont le retour permet d’obtenir des images de la zone examinée.

C’est un examen qui n’utilise pas les rayons X ; il ne présente donc aucun danger d’irradiation.

Une échographie abdomino-pelvienne peut être utilisée pour :

  • diagnostiquer une maladie : recherche d’une tumeur (kyste ovarienpar exemple), d’une infection (salpingitecholécystitepyélonéphrite par exemple), d’un calcul (lithiase vésiculaire, rénale par exemple)… ;
  • suivre l’évolution d’une pathologie (surveillance d’un cancer, d’uneendométriose…) ;
  • suivre la croissance et étudier le bon développement des organes du fœtus pendant lagrossesse ;
  • guider un chirurgien au cours de certaines opérations, etc.

L’échographie abdomino-pelvienne permet de visualiser les organes de l’abdomen et du pelvis. C’est à dire :

  • le foie,
  • la vésicule biliaire,
  • les reins,
  • la vessie,
  • l’utérus et lesovaires chez la femme,
  • la prostate et lesvésicules séminales chez l’homme, etc.

L’échographie abdomino-pelvienne transcutanée

La sonde de l’échographe est déplacée sur la peau de l’abdomen. Elle permet d’examiner tous les organes de l’abdomen et de la région pelvienne : foie, reins, vessie, utérus, ovaires , etc.

L’échographie par voie endocavitaire : transvaginale et transrectale

La sonde de l’échographe est introduite dans le vagin ou le rectum. En étant plus proche des organes examinés, elle permet d’obtenir des images de qualité. En particulier :

  • desovaires , de l’utérus, des trompes de Fallope pour l’échographie transvaginale. Cette technique ne peut pas être effectuée chez une femme n’ayant jamais eu de rapports sexuels. L’examen est possible pendant la grossesse et après la ménopause ;
  • de la prostate et des parois du rectum pour l’échographie transrectale. Cet examen peut également guider le médecin pour la réalisation debiopsies de la prostate.

Radiologie Interventionnelle

Mammographie

Comment se déroule une mammographie ?

La mammographie est une radiographie qui sert à dépister le cancer du sein. Si vous devez passer cet examen, voici des informations pour favoriser son bon déroulement.

 

À QUOI SERT UNE MAMMOGRAPHIE ?

La mammographie est une radiographie des seins qui utilise des rayons X à faible dose. Elle est réalisée grâce à un appareil appelé « mammographe ». Celui-ci peut être doté d’un système numérique, permettant le traitement informatisé des images obtenues.

La mammographie sert surtout à dépister un éventuel cancer du sein. Elle peut être proposée :

  • Lors d’une campagne de dépistage organisé du cancer du sein (un dépistage tous les 2 ans entre 40 et 74 ans) ;
  • Par votre médecin, pour un dépistage individuel plus rapproché ;
  • Après la découverte d’une anomalie pendant un examen clinique des seins ;
  • Dans le cadre d’une surveillance, après un traitement pour un cancer du sein.

 

 

AVANT LA MAMMOGRAPHIE : BIEN SE PRÉPARER

Si vous n’êtes pas ménopausée, prévoyez de passer l’examen dans les quinze jours suivant le début de vos règles. En effet, durant cette période, les seins sont moins sensibles.

Le jour du rendez-vous, respectez les conseils suivants :

  • N’appliquez ni crème, ni poudre, ni parfum, ni déodorant sous les aisselles ou sur les seins,. En effet, ces produits gênent parfois la réalisation de l’examen et l’interprétation des résultats ;
  • Habillez-vous de façon à pouvoir enlever seulement le haut de votre tenue ;
  • Évitez de porter des bijoux (chaîne, boucles d’oreilles), que vous devrez de toute façon enlever au moment de la mammographie ;
  • Emportez tous les clichés et comptes rendus d’examens déjà réalisés pour vos seins (mammographies, échographies, imagerie par résonance magnétique ou IRM, résultats de biopsies, etc.) Cela permettra au médecin de comparer les images et les informations entre elles.

 

LES DIFFÉRENTES ÉTAPES DE LA MAMMOGRAPHIE

À votre arrivée, le radiologue vous interroge sur vos antécédents médicaux. Il vous demande également si vous êtes ménopausée, si vous suivez un traitement hormonal, etc.

Si vous êtes enceinte ou susceptible de l’être, il est essentiel de le signaler. En effet, des précautions particulières doivent être prises lors de l’examen, pour protéger le fœtus des rayons X.

Puis, vous entrez en salle d’examen et une manipulatrice en radiologie vous invite :

  • à vous dévêtir totalement jusqu’à la taille ;
  • à vous positionner près du mammographe, généralement debout, plus rarement assise.

L’examen à proprement parler dure environ 10 minutes, et se déroule en plusieurs étapes :

  1. L’un de vos seins est posé sur une plaque qui fait partie du mammographe. Une seconde plaque vient se poser sur ce sein et l’aplatit de haut en bas. La compression permet d’obtenir une bonne qualité d’image et une irradiation moindre. Elle n’est pas douloureuse, mais peut être désagréable. Elle dure moins d’une minute.
  2. Le technicien se place derrière un écran protecteur. Il vous demande dene pas bouger et de ne pas respirer pendant la réalisation du cliché, afin que celui-ci soit bien net. Puis, il actionne à distance le mammographe pour prendre une première image.
  3. Dès que la radiographie est enregistrée, la compression se relâche automatiquement.
  4. L’appareil pivote à 45 °. Votre sein est alors placé de côté, toujours entre les deux plaques, pour obtenir une deuxième image en oblique.
  5. Le technicien répète les mêmes étapes pour l’autre s La mammographie peut aussi être complétée par un cliché de profil, ou centré sur une région particulière du sein.
  6. La personne qui a pris les images va les développer dans une autre pièce, et vérifie leur qualité. Cela peut durer quelques minutes. Pendant ce temps, vous patientez dans la salle de radiologie, au cas où il serait nécessaire de reprendre l’un des clichés. Vous pouvez ensuite vous rhabiller.

Radiographie Standard

La radiographie standard

La radiographie est un examen d’imagerie médicale qui utilise les rayons x pour visualiser des parties du corps humain (os et certains organes). Sur une radiographie, les os apparaissent blancs et les tissus mous dans des tons gris.

 

A quoi sert la radiographie ?

On peut réaliser des radiographies de tout le corps.

Elle permet surtout l’étude du squelette et des articulations, des poumons, de l’abdomen.

Les radiographies sont utiles à votre médecin dans sa démarche diagnostic et afin de réaliser un traitement adapté.

Elle recherche :

Au niveau des os : des fractures, de l’arthrose, des malformations.

Au niveau du poumon, elle dépiste des lésions de tuberculose, d’infections bactériennes ou virales, des tumeurs.

Au niveau de l’abdomen, elles visualisent les calculs présents dans la vésicule ou les reins, des signes d’occlusion ou de perforation digestives.

 

Qu’est-ce qu’une radiographie ?

Son principe consiste à impressionner sur un film radiographique les différences de densité d’un organe. Le film sera plus ou moins noirci selon l’organe radiographié. Les os apparaîtront blancs, les tissus mous seront dans différents tons de gris et l’air sera noir.

La salle de radiographie est constituée de :

L’appareil de radiographie. Il se compose d’un bras articulé muni d’un tube à rayons X et d’une plaque contenant le film.

Le pupitre de commande derrière lequel se trouve le personnel médical est séparé du reste de la pièce par une vitre plombée protectrice.

Comment se déroule une radiographie ?

C’est un manipulateur radio qui pratique cet examen.

Pendant l’examen, vous serez entre le tube à rayons X et la plaque contenant le film. Suivez les indications des manipulateurs. Pendant la prise des clichés, ne bougez pas et bloquez la respiration si on vous le demande. Plusieurs clichés seront réalisés dans différentes positions, le plus souvent de face et de profil.

Il dure quelques minutes. C’est un examen très rapide !

Ostéodensitométrie

Aussi appelée densitométrie osseuse, l’ostéodensitométrie est un examen radiologique sécuritaire et indolore qui permet de mesurer la densité de vos os et de déterminer si vous souffrez d’ostéoporose, une affection caractérisée par une baisse de la densité minérale osseuse.

Panoramique Dentaire

Une radio panoramique dentaire est un moyen essentiel du diagnostic et de l’exploration dans ce secteur. Elle permet de réaliser un cliché global de la mâchoire afin de connaitre l’emplacement exact des dents, repérer diverses anomalies dentaires, déceler les lésions dentaires et des tissus.

Imagerie Médicale

L’imagerie médicale est certainement l’un des domaines de la médecine qui a le plus progressé ces vingt dernières années.

Ces récentes découvertes permettent non seulement un meilleur diagnostic mais offrent aussi de nouveaux espoirs de traitement pour de nombreuses maladies. Cancer, épilepsie… l’identification précise de la lésion facilite déjà le recours à la chirurgie, seule solution thérapeutique pour certains malades. De telles techniques permettent également de mieux comprendre le fonctionnement de certains organes encore mystérieux, comme le cerveau.

Expertise du

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